« La femme-tambour est de retour sur les scènes de France et tous ceux qui viennent l’écouter se disent que vraiment, c’est une bonne nouvelle ! On ne s’en rendait pas compte, mais La Baronne manquait furieusement dans le paysage de la chanson actuelle »

Radio Pluriel

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« Pas une ride au talent,  La Baronne est toujours flamboyante... fascine et séduit par sa seule présence. Avec La Baronne c’est tout jazz, tout rock, ça furie, ça câline, tout est probant, tout excelle dans un tour de chant irréprochable. Tout y est nécessaire »

Michel Kemper

 

 

« Sylvie Cobo alias La Baronne s’est montrée époustouflante lors de son concert. Cobo sait bel et bien mettre les mots et maux d’amour à la hauteur d’une voix sublime qui sait mordre en plein dans la vie »          

La République du centre

 

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« La Baronne n’est pas une artiste de variété ordinaire »

Le Nouvel Observateur

 

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« Un fluide passe de la scène au public, conquis, transporté, qui l’ovationne longuement, debout »

            Le Dauphiné Libéré

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« Voix de la tolérance et de l’humanisme dans ses formes les plus viscérales, c'est-à-dire débarrassée de tout militantisme intempestif, La Baronne trouve les mots les plus justes pour exprimer l’idée la plus sincère : on devine derrière la chanteuse échevelée la femme de tête et de conviction.

Le cocktail inédit de La Baronne, ce mélange d’hymnes urbains hérités des goualantes, des blues primitifs ne ressemble à rien de connu sous le soleil. Il grise, décoiffe et défrise »

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René Guyomarc’h, Le Maine Libre

 

 

« À deux, La Baronne déclenche un ouragan.

Qui n’a jamais vu La Baronne taper ses tambours en chantant à pleine voix, n’a pas pleinement conscience de ce qu’est la chanson vivante… La fougue pulvérise la barrière de la langue… La Baronne tourne à l’étranger… Ses prestations font partie des souvenirs marquants de chacun de ses publics »            

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Sud-Ouest (Francofolies de la Rochelle)

 

 

« Bravo Madame ! Vous êtes une tempête en marche qui balade sa voix multi-cordes par delà la morosité. On se dit que c’est parfois trop beau »

Chorus